La lettre des décideurs économiques et financiers des hôpitaux

ÉDITORIAL-ÉVÈNEMENT

Health crunch

 

SOMMER Alain

Les taux d'intérêts bas et les liquidités abondantes sont bons pour la santé. La proposition inverse est malheureusement vraie.
Ce secteur est extrêmement dépendant des conditions de financement. Il est même avide de capitaux :
• les services de santé requièrent en moyenne un euro d'immobilisation pour un euro de chiffre d'affaires. Même si l'intensité capitalistique dépend des spécialités, le secteur est tributaire des financements longs.
• Les médicaments et les dispositifs médicaux demandent des investissements initiaux importants avec une longue période de développement avant d (...)


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